HEWLETT-PACKARD 41C 1979 à 1985 N° 2143S10383 Affichage sexadécimal LCD alphanumérique Dimensions : 7,8 cm14,2 cm x 3 cm Poids : 200 gr (avec les piles) Alimentation par quatre piles de 1,5 volts LR1 made in Singapour On décèle une même continuité dans la logique HP lorsque l'on compare cette machine avec la HP 65 par exemple. Certaines touches sont à la même place, ce qui favorise l'accès à ce nouveau produit par les "anciens". Ainsi, le choix de la position des touches a été conservé sur près de vingt ans : nous sommes en présence de la même famille. Inutile de décortiquer cette machine ici. D'autres sites l'on fait avant moi. Pour plus de détails techniques consultez les sites suivants : |
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Le rappel des possibilités du clavier alphanumérique est affiché au dos de la machine. La programmation synthétique offre la possibilité d'étendre les signes et les symboles. En matière musicale, les dix tonalités sont développées en durée et en hauteur. Ici, l'aide-mémoire correspond à la génération suivante des HP 41C, la couleur est plus orangée et l'on note made in Singapore. La première version, à droite, est plus jaune, et faite aux USA. | |
Les modules enfichables existent déjà sur les modèles TI 58-59. Mais les Texas Instruments ne sont que des ROM (mémoires mortes), alors que HP innove en proposant également des modules RAM (mémoires vives) qui permettent de développer la capacité mémoire. Une HP41C de base compte 63 registres que l'on peut répartir entre les registres mémoires et les pas de programmes. En ajoutant des modules de 63 registres, puis le module Quad Memory (HP 82170A) ont obtient une capacité qui dépasse de loin celles des machines de l'époque : 30 mémoires et 289 registres programme (2312 octects). Certains magasines donnent des conseils pour doubler la capacité d'un module simple, cela pour libérer un port. Parmi les innovations françaises, le module Paname reste un exemple exemplaire. |
J'ai eu une HP 41c alors que j'étais
en première. Je l'ai acquise durant ma première
F1, section technique. Un peu plus tard, j'ai eu le lecteur de
cartes. J'ai dû l'acheter fin août 81 au moment du
passage en terminale. C'est ma mère qui m'a donné
un chèque du montant du lecteur (environ 1,400 francs je
crois), et je me souviens être allé à la FNAC
des Halles l'acheter. Durant les vacances d'été,
j'avais travaillé dans une colonie de vacances près
de Annecy. Mes parents étaient venus me rejoindre à
la fin du mois de juillet, et ils étaient allés
camper au bord du lac. Je me souviens que mon oncle et sa femme
avaient loué une maison non loin du même endroit,
et que j'étais allé avec lui voir les calculatrices
dans un super marché d'Annecy (peut-être Carrefour).
Pour acheter la HP 41C, j'avais revendu ma TI 58C qui était
tout de même une sacrée machine. En réalité,
la TI 58C était bien suffisante, mais la course technologique
battait son plein, comme aujourd'hui lorsque l'on revend un ordinateur
pour en acheter un plus puissant alors que l'on se contente de
faire du traitement de texte. Il y a beaucoup de ridicule dans
la démarche du progrès technique et dans le cautionnement
que l'on en fait.
Lorsque l'on allait à la FNAC, il y avait toutes ces machines
en démonstration ; mais la HP 41C était fixée
sur le comptoir en libre utilisation, de manière à
pouvoir la tester. Tout le monde pouvait la toucher, taper dessus,
voir comment elle fonctionnait. Elle était connectée
à une imprimante thermique HP. Pour m'amuser, j'imprimais
le catalogue des fonctions, et je ramenais le papier chez moi
que je collais dans un cahier qui contenait toute sorte d'information
sur les calculatrices et les ordinateurs. Parfois, je prenais
le temps de programmer un truc du genre : imprimer " bonjour
". Ce que j'aimais surtout c'était cette forme de
contact qui était rendue possible par la programmation.
Souvent les premiers contacts avec le langage de programmation
sont du type : Print " Bonjour ". Cette salutation à
du matériel électronique renvoie à l'idée
qu'on est en face d'un individu et non pas d'une machine. Finalement,
il n'y a pas moins de contact qu'avec un animal familier de type
Hamster ou souris. Une étude qui mettrait en parallèle
le comportement devant une machine et un animal serait riche
d'enseignement.
Il y avait aussi la HP 67, mais son prix était beaucoup
plus élevé que celui de la HP 41C, bien que la HP
67 était plus " belle " à mes yeux. J'avais
la plaquette publicitaire chez moi. Dans son esthétique
était intégré le lecteur de cartes magnétiques,
qui avait pour moi un rapport direct avec l'ordinateur et avec
le monde extérieur. C'était un petit ordinateur
de poche. L'avantage avec la HP 41C c'est qu'elle était
vendue de base pour un prix à peu près correct.
Je crois qu'elle valait plus chère que la TI 59, mais ici
nous touchons à une différence de clan plutôt
qu'à une différence de matériel. Je m'explique
: Il y avait ceux qui étaient pro-Texas Instruments et
ceux qui étaient pro-Hewlett-Packard. C'est à peu
près tout, car ceux qui possédaient une Sharp PC-1211
ou plus rarement encore une CASIO, faisaient partie d'un autre
clan. Elle était abordable, et en ajoutant des accessoires,
on pouvait la transformer en véritable outil de gestion.
Reste qu'à l'arrivée du système HP-IL, j'ai
laissé tomber l'idée de développer mon matériel
car cela devenait vraiment très coûteux. Par exemple,
il y avait un lecteur de micro-cassettes qui devait valoir à
l'époque 4,000 francs, vraiment très cher, mais
de très bonne qualité.
C'est le critère de qualité qui a toujours démarqué
les HP des TI, et encore plus des japonaises. On sentait la qualité
sous les touches. Le plastique du boîtier était également
un signe de qualité. La rigidité de l'ensemble,
même si les séries TI 58-59 étaient mieux
finies que les TI 57, le sérieux de la finition en faisait
un matériel haut de gamme qui peut s'apparenter à
un objet à la fois ostentatoire et source de distinction.
Reste que le principe des touches sur les HP fait qu'elles ne
se déplacent pas, elles pivotent autour d'un axe. Ensuite,
elles sont mieux dessinées, et l'idée d'y placer
trois fonctions leur donne un côté plus complet.
Enfin, l'écran de la HP 41C était révolutionnaire
par rapport aux écrans à diodes LED. Un affichage
à seize segments offrait l'avantage de pouvoir afficher
des textes alphanumériques vraiment clairs, ce qui n'était
pas possible auparavant. Non, la HP 41C offrait une puissance
en matière de programmation et d'interaction vraiment supérieure
au TI 58-59. Il y avait aussi des points communs.
Par exemple, les revues conseillaient d'acheter une housse de
TI 30 pour la transporter. En effet, la HP 41C était vendue
avec une housse plus grande qui devait accueillir le lecteur de
cartes magnétiques. Cette originalité, qui partait
du principe que tôt ou tard on finirait par acheter un lecteur
de cartes, était dans un premier temps gênant. J'avais
donc acheté une housse de TI 30 que l'on trouvait dans
les librairies. Car la TI 30 était vendue sans housse de
transport. J'avais même été jusqu'à
recouvrir l'intérieur d'une simili peau de bête noir
et blanche. Quand j'y repense, c'était d'un kitsch à
toute épreuve. Mais cela montrait l'attachement à
cet objet, et le soin qui lui était dispensé.
À la différence des Sharp et des CASIO, les TI et
les HP se programmaient à peu près de la même
façon. Enfin dans les grands principes car bien sûr
les unes étaient en notation algébrique alors que
les autres en notation polonaise inversée. Quand j'y repense
maintenant, on aurait pu dire que les TI étaient en notation
Arabe et les HP en notation Polonaise, l'Orient contre l'Occident
en quelque sorte. Il faut se rappeler que c'est quand même
un Allemand ex-nazi qui a permis de construire les premières
fusées Américaines.
Bref, j'étais le seul de ma classe à posséder
une HP 41C. Je l'ai amenée quelques fois à l'école
dans sa housse. Les copains venaient s'émerveiller des
prouesses de cette machine. J'avais un autre copain qui en avait
une. C'était celle de son père qu'il promenait de
temps en temps et montrait dans la cour du lycée. Dans
ma classe, un autre copain avait une Sharp PC-1211, c'était
tout. Mêmes les profs n'avaient pas de telles machines.
Je me souviens que le prof de math me demandait des conseils pour
programmer les TI 57 que possédait le lycée dans
une grande mallette métallique. Enfin, la HP 41C s'est
vendue jusqu'en 1991 à plus d'un million et demi d'exemplaires
à travers le monde. Je pense que j'ai été
un pionnier en la matière, et qu'après moi, beaucoup
d'autres lycéens en ont acquis une. Cela est démontré
par l'effervescence que l'on trouve dans les publications pour
les lycéens comme l'Ordinateur de poche et l'Ordinateur
Individuel.
La HP 41C est devenue un mythe car elle a réellement été
au centre de groupement d'étudiants au point qu'aujourd'hui
des sites Internet y consacrent leurs pages. Elle a évoluée
simplement tout d'abord en accroissant sa capacité de mémoire.
Mais il était facile de transformer sa HP 41C en HP41CV
en adjoignant un module Quad Memory dans un des quatre ports de
la machine. Après, la HP41CX était une machine un
peu supérieure dans ses fonctions, mais pas réellement
différente.
Au-delà d'un objet technique de qualité, cette machine
a cristallisé des émotions et un intérêt
pour la transgression. Dès 1981, une série d'articles
parus dans un journal spécialisé faisait état
d'un défaut du hardware qui permettait d'enter dans les
fonctions internes de la machine et d'augmenter de manière
transgressive ses fonctions de programmation. Ce que les auteurs
ont appelé la programmation synthétique était
née, et devait permettre à de nombreux utilisateurs
de renforcer la cohésion du clan des Hpistes. À
peu près au même moment, les utilisateurs des TI
trouvaient une fonction assez proche HIR, qui, à mon avis,
a été pour beaucoup dans l'intérêt
de ces petites machines. Le côté transgressif, ou
de l'utilisation hors du contexte naturel, permettait une revendication
et une prise de pouvoir de la part des utilisateurs, montrant
en montrant leur supériorité par rapport aux géants
de l'électronique. Le dialogue entre les firmes et les
utilisateurs n'a jamais eu lieu. Et au lieu de profiter de ces
fonctions synthétiques, les marques TI et HP ont rapidement
corrigées leur hardware (ex. dans le manuel de la TI 66).
Seuls les premiers modèles de HP 41C ont pu utiliser la
fonction XROM. Mais comme ont pouvait l'enregistrer sur une carte
magnétique, beaucoup d'utilisateurs ont pu se la procurer.
Ainsi, à travers les revues spécialisées,
une véritable culture technique a pu se concrétiser.
Celles-ci diffusaient des codes, des valeurs (souvent anti-japonais
d'ailleurs), une véritable micro-culture partagée
entre les fervents utilisateurs. C'est cette culture que je souhaite
étudier à travers les revues , la mémoires
des " anciens ", et également à travers
une introspection.
HEWLETT-PACKARD 41C 1979 N° 1947A01516 Affichage sexadécimal LCD alphanumérique Dimensions : 7,8 cm14,2 cm x 3 cm Poids : 200 gr (avec les piles) Alimentation par quatre piles de 1,5 volts LR1 made in USA |
Cette HP41C, présentée ici avec le lecteur de cartes, possède la particularité d'être Hors Sevice. Après deux expéditions chez HP, la dernière sous le numéro 068425. Avec un jeux de piles, la calculatrice s'allumpe en éméttant un bip, peut afficher le CAT 3, et se bloque irrémadiablement. Il est toujours intéressant de conserver ce genre d'objet, car l'étude des dommages peut renseigner sur la fiabilité, le type de dommage, etc. |
Carte mère de la H¨41C de 1981.
La carte époxy est numérotée 00041-60105. La
rapidité de l'intérgation des composants est visible sur
ces deux cartes mères dont les fonctions sont identiques. La
disparition de trois circuits intégrés permet d'installer
deux plus gros condensateurs qui conservent le courant, même une
fois la carte enlevée. Pour l'anecdote, j'ai remplacé les
deux cartes pour tester la "1979", et lorsque j'ai remis la
première carte dans la machine, les programmes avaient
été conservés. HP préconise d'ailleurs
d'hôter les piles 24 heures pour remettre les mémoires
à zéro. |
Carte mère de la HP41C de 1979.
La carte époxy est numérotée 00041-60001. On
remarque la présence de trois ship à gauche qui
disparaissent sur la version ultérieure. Cette machine
possède certainement les bugs de départ, ceux qui ont
permis de trouver la fonction Cric. |
Comme sur la HP 35, la conception est très rationnelle. La carte mère est posée sur le clavier, et pressée grâce à deux vis. Sur la première version, deux rondelles assurent le serrage, alors que dans la deuxième version, les rondelles sont directement moulées dnas la coque. Le circuit en époxy est doré. On aperçoit au-dessus le circuit de l'affichage avec ses deux puces collées directement sur celui-ci. Ici, l'interchangeabilité et rapide. Les services de HP pouvaient changer la carte-mère et rendre un produit compme neuf. Le code H-1914 laisse penser à 1979. Il s'agit ici d'une des premières cartes-mères, donc d'un objet de collection en soit. |
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Sortie en 1980, la HP 41CV a une capacité cinq (V) fois plus grande de mémoire. C'est la seule différence avec la HP 41C. Au même moment, HP avait lancé les modules mémoire simples HP 82160A et quadi HP 82170A. Dans une HP 41C il suffisait de mettre un, deux ou quatre modules simples, ou bien un seul module quadri, et le tour était joué. On obtenait ainsi les 319 registres de mémoire RAM que l'on peut répartir entre mémoire programme (PRGM) et mémoire utilisateur (STO). Il faudra attendre la HP 41CX pour voir les capacité mémoire décupler.
Ici, modèle 2314S41467 fullnut.
Dans la série coconut, on peut distinguer les modèles fullnut ou halfnut. De l'extérieur, l'apparence diffère par l'affichage. Dans un modèle fullnut l'affichage a les coins carrés, dans un modèle halfnut l'affichage a les coins arrondis. Mais à l'intérieur ce n'est plus du tout la même chose. La carte mère d'une fullnut est truffée de petits composants et de circuits intégrés, dans une halfnut il n'y a qu'un composant, grosse puce, et pas de carte mère. La puce est directement soudée sur le circuit du clavier.
Il existe à ma connaissance trois lettrages de front. Le plus ancien pourrait être un lettrage en relief que l'on peut voir sur la machine de Jean-François Garnier, un lettrage argenté, et enfin un lettrage doré. Voilà encore quelques objets pour les collectionneurs.
Comment réparer les plots de sa calculatrice ?
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La HP 41 C est la seule calcualtrice a avoir offert ces possibilités. C'est un objet pédagogique incontournable dans les années 1980 à 1995 car de nombreux élèves ingénieurs ont exploité les moindres possibilités en rendant positif les bugs et les défauts de la machine (comme par exemple l'accès à la mémoire interne qui a donné lieu au développement de la programmation synthétique. Du reste et selon Jean-Daniel Dodin, le système HP-IL fonctionne toujours.
Avant l'arrivée du système HP-IL, en 1982, la HP-41C peut être connectée à un lecteur de cartes magnétiques. Ces cartes se lisent sur un face mais dans les deux sens, alors que les cartes des HP-65 ne se lisent que dans un sens. La capacité de stockage est donc accru. Ci-dessous, le système de lecture/écriture de carte magnétiques, et une présentation de l'évolution esthétique des cartes. La boîte contient 120 cartes magnétiques contenues dans des carnets à spirales beiges. Dans chaque carnet se trouve une carte rouge (non représentée ici) qui n'est autre qu'une carte abravise destinée à nettoyer la tête du lecteur. Le système HP-IL était d'un prix relativement coûteux. La plupart des utilisateurs comme moi ne possédaient au mieux qu'un lecteur de cartes. En outre, l'acquisition de modules mémoire supplémentaires ou de modules préprogrammés se faisait soit neuf soit d'occasion. Les reveus de l'époque fourmillent d'offres de ce genre.
Le lecteur ci-dessus s'enfiche dans le port quatre de la machine. Il est présenté ici vue de dessus. Les différentes cartes sont dans l'ordre (en partant du haut) : carte de HP-65, carte de HP-41, carte de programme HP, carte de HP-41 vue côté magnétique, carte de HP-41 dopnt les angles ont été sectionnés afin de protéger la carte en écriture. Un autre moyen de protéger les programmes est de taper la fonction "PRIVATE" avant d'enregistrer. Ainsi, les données programme sont exécutables mais non listables.
Voici deux modèles de micro-cassette utilisées par le lecteur de masse HP-82161A. Chacune d'elle est stockée dnas un boîtier plastique semblable à un boîtier de mini-cassette. Le lecteur comporte un compartiment qui permet de stocker deux micro-cassettes. Lorsque l'on connecte ce lecteur par l'intermédiaire du module HP-IL82160A et que l'on effectue la fonction catalog 2, l'affichage indique : "MASS ST 1H".
La revue HP Digest de 1980 (volume 6) annonce la sortie de la HP 41 comme un véritable standard. La grande nouveauté se situe sur plusieurs axes : l'affichage à cristaux liquides à 16 segments capable d'afficher les lettres. Quatre ports assurant une liaison avec de multiples périphériques comme une imprimante, un lecteur de cartes magnétiques, un lecteur de code à barres, et la possibilité d'enficher des modules mémoire vive et morte.
Mais le système n'est pas terminé, et la sortie en 1982 de l'HP-IL décuple les possibilités de cette petite machine. L'interface permet de relier en boucle des périphériques entre-eux, comme une imprimante et un lecteur à mémoire de masse à cassettes. Avec cette machine, la limite entre la calculatrice programmable et l'ordinateur est franchie. De nombreux passionnés vont développer des programmes et des accessoires supplémentaires.
Bien sûr le coût de cet ensemble est asez rebutant pour les étudiants et les lycéens. Ceux-ci se contentent d'acheter une HP 41 C, CV ou X et un lecteur de cartes magnétiques. Quant à l'imprimante, ou le lecteur de cassette, ils restent un objet de convoitise réservé aux professionnels. Le professeur Jean Chevreau est l'un d'eux. Fasciné par la technique, il acquiert les calcualtrices HP au fur et à mesure. Il compose un réseau autour du HP-IL à partir d'une HP-41 CV puis X, d'un lecteur de cassette et d'une imprimante IL. Celle-ci diffère de la première imprimante par la prise HP-IL au lieu d'un cordon de raccordement à la calcualtrice.
1983-1990 N°2826S21711 Affichage sexadécimal LCD alphanumérique Dimensions : 7,8 cm14,2 cm x 3 cm Poids : 260 gr (avec le lecteur de cartes sans les piles) Alimentation par quatre piles de 1,5 volts LR1 made in Singapour Inutile de décortiquer cette machine ici. D'autres sites l'on fait avant moi. Pour plus de détails techniques consultez les sites suivants (en anglais) : Qu'y a-t-il à l'intérieur d'une HP 41 CX ? Comme le montre l'image une HP 41 CX n'est absolument plus une HP 41C ou CV. Un seul single ship se trouve à l'intérieur, qui ressemble d'assez près à celui installé dans une HP 42S. L'emballage reste le même, mais la technologie est différente ! |
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Il n'y a aucune différence dans la présentation du clavier hormis le fait d'une variation de la couleur jaune, qui passe du jaune vif dans la première série HP 41C, au jaune orangé par la suite, mais toujours cerclé d'un filet argenté, puis au jauen orangé cerclé d'un filet doré (HP 41CX). Au dos, le guide alphanumérique passe du jaune vif, au jaune orangé et à l'argenté (41CX) et marque les fonctionnalités supplémenataires. Le module additionnel XMEMORY offre une capacité de 238 mémoires supplémentaires convertibles en pas de programmes. La gestion de cette mémoire devient plus complexe car elle fonctionne sur le principe d'une mémoire externe qu'il faut appeler en mémoire vive au préalable. Il peut être incorporé à une HP41C ou CV en plus d'un module XFUNCTION qui réhausse la machine au rang d'une CX (sauf le module horloge additionnel). Le système se complexifie toujours plus, c'est pour cette raison que je préfère une bonne vieille HP 41C, bien suffisante dans la majorité des cas. Aujourd'hui, il n'existe pas d'équivalent ce qui est facheux car aucune HP 49 ne remplace la simplicité et la réactivité d'une calculatrice programmable. |
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