La calculatrice est livrée avec un livret trilingue anglais, français et allemand, assez mal traduit pour ce qui est du français. Une page indique bien que Novus est une marque de la National Semiconductor Corporation, aux Etats-Unis, et que cette branche sert à diffuser au grand public la technologie des circuits intégrés.
Le circuit imprimé est identique dans sa conception à la Novus 850, à savoir deux circuits intérgrés, le MM5738 est identique sur la 850, reste le plus petit qui doit participer à la mise en mémoire et au calcul des pourcentages. Le circuit se termine par un circuit souple qui relie le clavier. Les touches sans clic rendent le confort de frappe moins évident.
Au dos, figure en abrégé le mode d'emploi, avec la fonction K et MS, en anglais.
Lorsque l'on alume la machine, il apparaît des chiffres bizarres  comme "EEEI" ou "E413EEE05" ou "E2244EEEE" ou encore "E2249EEEE". Et il faut appuyer sur CE/C pour réduire l'affichage à 0. Cette routine de mise à zéro ne fait pas partie de la microprogrammation de base. De même, la pression sur la touche MR fait apparaître des chiffres aléatoirs dnas la machine, "EE5E9EE7" qui multipliés par 1 donne "E12646365". Jamais le même ! Ces machines bon marché avaient pourtant un certain succès en 1975.